Giovanni Cesaraccio, né à La Maddalena en octobre 1950, est considéré par la plupart comme un point de référence important sur la flore, la faune et la géologie de tout l’archipel de La Maddalena. Introverti et pas du tout habitué à toute forme de protagonisme, il obtint des satisfactions peu communes grâce à la découverte d’espèces rares telles que la Silene velutina (plante endémique presque totalement éteinte), le lézard de Bedriaga, la Julgoldite Fe2+ (un minéral rare) ainsi que la découverte d’un insecte, inconnu à l’époque, qui reçut son nom : l’Amaurorhin us cesaraccioi (famille des charançons).
Sa mort prématurée, en 92, a privé l’Archipel de l’un de ses plus grands connaisseurs pas avant qu’il ait laissé sa marque indélébile dans les cœurs et les esprits des habitants de La Maddalena ainsi que dans les livres académiques. Le Musée naturaliste géo-minéralogique de La Maddalena lui est dédié.
“Caprera est parmi les îles méditerranéennes, l’une de celles où le caractère sacré de la nature est encore tangible”.
Sa mort prématurée, en 92, a privé l’Archipel de l’un de ses plus grands connaisseurs pas avant qu’il ait laissé sa marque indélébile dans les cœurs et les esprits des habitants de La Maddalena ainsi que dans les livres académiques. Le Musée naturaliste géo-minéralogique de La Maddalena lui est dédié.
“Caprera est parmi les îles méditerranéennes, l’une de celles où le caractère sacré de la nature est encore tangible”.
